PROSPECTIVE
Il va de soi, qu’on devrait se projeter vers l’avenir, avec des idées constructives à soulager. La nécessité étant :
- de s’assurer un positionnement durable, sur l’échiquier mondial ;
- obligation formelle et fondamentale, à promouvoir le football continental, au-delà des frontières ;
- le football devient dès-lors, un prétexte au développement (incitatif à faire des pays, de véritables destinations touristiques…) ;
- penser à la reconversion des acteurs, en mettant à leur disposition, des programmes de formation aux métiers divers (mettre l’accent sur les métiers liés au football) ;
- la volonté de briser le rêve, d’un monde paradisiaque ailleurs, que chez soi (large diffusion des risques d’une aventure) ;
- le nouveau contexte, bien cousu, rassure d’une vie paisible par son métier. Éloigne, toute envie d’abandonner l’activité, ou de se lancer tête basse à l’aventure, au péril des incertitudes (désert, mer…).
CONCLUSION
La professionnalisation du football africain, est un préalable à l’ambition, de remporter une phase finale de Coupe du Monde, dans dix ans ou moins.
Pour y parvenir, une image positive de ce football, est à construire. Cela exige, de mettre en œuvre, de véritables outils de gouvernance, et de performance.
Le football à la base, est un système d’activités sportives, et de divertissement. Il anime, une complexité d’enjeux multidisciplinaires, et multisectoriels. Lesquels, impactent la vie sociale, éducative, culturelle, touristique, économique, diplomatique et politique d’une Nation, d’un pays.
Il est nécessaire, de l’organiser selon les règles de l’art. En respectant les standards universels. Obtenir des produits de qualité, est une étape décisive. Celle, qui conduit à la commercialisation, dans un contexte, marqué par une concurrence rude et féroce.
Ne pas le faire, ou refuser de s’arrimer à l’évolution du monde, est suicidaire.