Feu Vert...

L’hymne à la gloire, retentit allègrement sur le toit de l’Afrique. L’on loue, exalte et magnifie les plus méritants.

Des yeux flamboyants, les cœurs joyeux, les esprits apaisés, les âmes revigorées et les cœurs rafraîchis… le bonheur est perceptible, là où, le sérieux et la détermination renforcent une conviction.

Le hasard, dans ces circonstances particulières, récompense les esprits préparés, à l’accueillir. Ce n’est point anodin, un tant soit peu, que l’on ressorte ce caractère à part, qui fait, la marque honorant des champions.

Le regard affermi vers la prévoyance, ceux qui échouent si proche du but, considérablement leur est imposé autre choix, que l’acceptation de cette triste réalité. Elle est implacable et redoutable, ne déclenche d’envie au départ. On n’y peut rien à l’effet, il faut s’y faire ainsi.

De la sagesse populaire en vigueur. Celle connue et sue, et fondamentalement dans les milieux d’équilibre ; les causes, les manifestations et les conséquences se tiennent inéluctablement. Notamment, lorsqu’une occasion exceptionnelle s’offre.

Il n’est point interdit, de trébucher et se renverser. L’humilité profonde convoque, la grande capacité à se relever dignement, et sans façon.

De là, l’amas de larmes que l’on verse, ne servent à grand-chose, qu’à soulager un sentiment passager, fait d’émotions troublantes. Cela s’entend fort bien…

Toutefois, il est bon en toute circonstance, d’envisager l’avenir, avec un très grand espoir de succès. Sinon, l’on se plombe et se plante à se sortir rapidement, de ce déséquilibre d’un temps douloureux.

Aussi, les vaincus et les vainqueurs de ce dernier tour palpitant, qualificatif à la phase finale de cette autre Coupe du Monde Qatar 2022, sont tenus chacun, à des échelles différentes, à interroger le bienfondé qu’impose l’état présent.

Heureux sont ceux qui se plient, par une fécondité d’esprit, à passer aux commandes du bon sens.

Heureux sont ces choix cardinaux, à démystifier le règne de l’incapacité. Celui, d’une Afrique bloquée par des préjugés orduriers, à jouer les seconds rôles, lors de ce type de tournoi du grand chelem.

Heureux à présent, que la messe soit dite. La conviction d’une participation plus qu’honorable, guide la pensée jalouse, à faire mieux que les devanciers d’ici.

Heureux ces élus de la gloire, sur qui, le continent tout entier  mise profondément, à briser ces chaînes de mépris, mal façonnées, empêchent l’épanouissement complet de sa personnalité. Il est juste, de s’assumer pleinement.

Heureux, dans l’espoir d’une solidarité africaine plus accrue, à soutenir et accompagner les représentants du continent. C’est encore là, une nécessité urgente, qui éloigne toute autre conviction, que celle du rayonnement absolu, tant recherché. Et, ces aspirations qui restent essentielles, à convaincre définitivement ceux d’ailleurs.

Heureux, comme cette lune en plein désert, fait mentir les pronostics et autres avis trompeurs. Les égarements d’esprits, se diront surpris, de ce nouveau coup d’éclat en perspective. Ils sont en nombre, à taire définitivement, dans cette voie de dénigrement.

Heureux cet accompagnement attendu, des athlètes sur le front des opérations. Toute impréparation prépare à l’échec. Les différentes composantes impliquées dans cette opération, doivent avoir à cœur, une seule et unique préoccupation ; garantir à tout point la réussite. Aucun détail n’est à négliger effectivement. La question de primes et autres nécessités, un lointain souvenir désormais. Tel un grand souhait, à ne revenir sur ces affaires troublantes.

Heureux pour cette maturité acquise, servirait à plonger dans un rêve profond, les férules du football africain. Trois lions (indomptable, teranga, atlas), un aigle et une étoile, l’Afrique est garnie sur le plan des référents, à terrasser les oracles d’ailleurs, lors de cette guerre farouche, qui s’annonce.

Heureux comme ces Lions indomptables, participent une huitième fois, à une phase finale de Coupe du Monde. Les lions de l’Atlas, en sont à leur sixième participation. Les Aigles de Carthage, planent sur une sixième participation, en phase finale d’une Coupe du Monde. Les Black Stars, gouttent une quatrième fois, aux délices d’une Coupe du Monde. Les Lions de la Teranga, tenteront une troisième fois, de vaincre les absolus.

Heureux sont-ils, fourbis d’expérience, à trôner sur la planète football, à l’effet.

Cette fois-ci, l’on ne va pas en terrain inconnu. De vrai, que le nombre de participations, que chacun des pays qualifiés, à cette phase finale de Coupe du Monde, ne laisse de place au doute, à un frémissent… qu’à installer au fond de soi, un capital de confiance sur ce qui advient.

Tout compte fait, l’Ogfa accompagne fièrement, les mousquetaires du continent, à la conquête du Saint Graal. Lequel probablement, dans un futur proche qui sait, séjournera sur les terres d’Afrique …


OGFA Admin

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