Cette période particulière de début de la CAN 2022 au Cameroun me donne à nouveau l'occasion de m'exprimer sur cette autre tentative insupportable d'imposer le très controversé vaccin contre le Coronavirus aux Camerounais et aux Africains.
Chacun devrait, avant toutes choses, savoir qu'en ce moment même, une confusion de grande ampleur règne au sein des sociétés occidentales à propos du vaccin anti Covid. Contrairement à tout ce qui avait été annoncé pour inciter les populations à se soumettre au protocole vaccinal, voici les constats factuels et incontestables qui y sont faits chaque jour :
Les vaccinés y sont régulièrement re-infectes par le coronavirus; ils transmettent également le virus lorsqu'ils en sont porteurs ; certains d'entre eux décèdent du covid au même titre que certains non vaccinés bien que le taux des décès a considérablement baissé; chez certains vaccinés, des complications diverses dues à la faible maîtrise du vaccin entraînent des décès dont les statistiques restent confidentielles ; très curieusement, les diverses solutions thérapeutiques proposées et efficaces ont été interdites par les gouvernements ; dans des pays supposés être de démocratie et de liberté, le pass vaccinal se présente désormais comme l'outil d'imposition d'un ordre totalitaire et despotique tel que voulu par les promoteurs visibles et cachés d'un nouvel ordre mondial aux visées incertaines pour l'humanité; le vaccin se révèle inutile pour une grande partie de la population car l'organisme humain a la propriété de générer une défense immunitaire naturelle parfaitement efficace; la vaccination étendue aux jeunes enfants est totalement superflue et probablement orientée vers un autre type d'agenda; seules les personnes fragiles en situation de comorbidites ou très âgées se révèlent à risque et donc, susceptibles d'être vaccinées ; le dernier variant Omicron est crédité d'un niveau de létalité si faible qu'il n'a aucune raison de perpétuer l'hystérie des gouvernements et de l'élite du nouvel ordre mondial aux commandes.
En résumé, il se révèle qu'il n'y a pas péril en la demeure. A l'instar de la grippe qui sévit partout sans dangerosité particulière, on devrait laisser les citoyens du monde reprendre librement et sereinement le cours de leur existence tout en veillant efficacement sur les plus fragiles, seuls susceptibles d'être vaccinés. L'évidence aujourd'hui est qu'aucun moyen radical, y compris le vaccin, n'est disponible pour enrayer totalement la propagation du virus avec lequel il faudra simplement apprendre à vivre. Mais visiblement, les objectifs sont tout simplement ailleurs.
Aujourd'hui, il n y a aucune raison pour qu'après l'administration interminable de doses de vaccins à des populations souvent vaccinées à plus de 90%, toutes choses qui devraient faire chuter l'hystérie et sécuriser a priori ses populations, que cette tyrannie de la diffusion à tout prix du vaccin demeure la préoccupation majeure de certains États.
Loin de ce brouhaha, l'Afrique a encore moins raison de se soumettre à cette psychose générale orchestrée à dessein par les lobbies mondialistes. Sa résilience spirituelle, naturelle, psychologique ainsi que ses efforts de développement de solutions thérapeutiques alternatives et endogènes, l'ont préservée d'hecatombes hâtivement annoncées.
La société de l'information contemporaine a eu le bienfait de renseigner notre Afrique, de façon massive, sur les méfaits et malveillances qu'on lui a fait subir par le passé ainsi que sur les subtils périls qui, comme une épée de Damoclès, planent sur son présent et son futur. Parfois révélés par d'autres acteurs occidentaux, ces renseignements tournent autour des idées de moins en moins contestables ci-après.
. Quelques officines et cénacles occultistes de grande influence mondiale dans les différentes sphères politique, économique, sociale, médiatique et diplomatique oeuvrent secrètement à établir un nouvel ordre mondial conforme à leur vision et leur représentation de la planète. Ils ont, pour le monde et n'en déplaise aux pourfendeurs d'un présumé complotisme, un agenda caché globalement centré sur un ordre post voire transhumaniste, profondément anti-Dieu. Pour le coup, la conspiration, bien dissimulée dans un discours douteux d'altruisme sanitaire, est bel et bien réelle.
. Cet agenda vise la réduction subtile de la démographie mondiale, et donc africaine, donnée comme dangereusement dynamique et périlleuse pour l'occident et l'écosystème planétaire.
. Il vise aussi le contrôle et la stricte régulation de la population mondiale au travers de l'outil biotechnologique que représente la digitalisation du système cognitif humain. Parti de l'humain vers le post et le transhumain, le nouveau citoyen global que l'on voudrait formater comme un support informatique, précisément via la vaccination massive, devrait porter des protocoles numériques permettant de le manipuler et l'orienter dans le sens voulu par l'air du temps. Ses pensées, ses émotions, ses aspirations pourraient être ainsi télé-dirigees et télé-influencées dans une perspective uniformisatrice à l'instar de l'épisode historique de la célèbre Tour de Babel dont certains connaissent les ambitions et visées anciennes déjà de challenger le Très-Haut. Assurément, nous ne sommes pas loin du mythe prométhéen. Il faudrait alors être prêt à subir les multiples maux issus de la célèbre boîte de Pandore de Zeus, dans un monde déjà fort tourmenté par des crises multiformes. Des maux qui, de surcroît, seraient intensifiés par les travers d'un paradigme civilisationnel déterminé à promouvoir et imposer les phénomènes deviants des LGBT, Transgenres, pédo-zoo-necrophiles représentant autant de facteurs inéluctables de déchéance civilisationnelle. Cela n'est ni acceptable ni supportable. Le monde entier doit se ressaisir. Le modèle de civilisation promu par les tenants du nouvel ordre mondial est porteurs de périls incalculables pour l'humanité.
Fort de cette référence des Écritures prescrivant " d'être doux comme des colombes mais prudents comme des serpents", ma ferme recommandation à mes frères et concitoyens camerounais et Africains, est de demeurer dans la prudence, la vigilance, et l'intercession à l'égard du présent sujet. Nous avons pu résister jusqu'ici et rien ne doit nous porter à nous soumettre au diktat vaccinal dont chacun a désormais une idée des préoccupations secrètes, sans véritable rapport avec la santé publique.
A cet égard, les mesures barrières habituelles, et particulièrement le masque, conjuguées à un test PCR ou antigénique, me semblent suffisants comme conditions d'accès de nos populations à des stades dont le financement a été en grande partie réalisé sur nos impôts et nos efforts à tous.
Il n'est pas souhaitable que cette condition du vaccin soit maintenue pour un évènement qui doit pouvoir bénéficier d'une ferveur populaire certaine. Aucun chantage au vaccin ne sera donc recevable de la part de nos populations à propos de cette affaire. La fête africaine du football ne devait être ni contrariée ni bridée sous aucun prétexte.
C'est le lieu de rappeler ici le mépris, la condescendance ainsi que les velléités de nuire au bon déroulement de la CAN par certaines associations européennes de football professionnel sous le prétexte du même impérialisme vaccinal. Ladite affaire remet au goût du jour l'éternelle question de la sous-considération de l'Afrique sur l'échiquier géopolitique mondial. Comme toutes les autres régions du monde, elle qui par ses ressources humaines, contribue aussi significativement à l'animation du football mondial a droit au respect et à l'équité en ce qui concerne ses événements sportifs endogènes.
En définitive, notre préservation à l'égard de ce vaccin si controversé est une question existentielle. Elle se situe bien au-delà de la CAN qui ne reste qu'un événement sportif ponctuel. Sachons-le. Mon présent propos qui demeure dans la logique de l'éveil des consciences, restera particulièrement déterminant pour l'avenir du continent.
Bimdeng.
Dieu protège le Cameroun et l'Afrique !