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Les navigateurs doivent faire face à des conditions météorologiques difficiles, avec des creux de mer de 4-5 mètres. Charlie Dalin, en tête avec 45 000 milles nautiques d'avance, a dû lever le pied pour éviter les dégâts sur son bateau. Cette situation est comparable à rouler en voiture sur un terrain de cross, selon Guirec Soudée, navigateur Freelance.com[4].
Les équipes doivent être extrêmement vigilantes pour traverser cette bourrasque, qui marque le début des ennuis pour une grande partie de la flotte. La mer est bien déchaînée, et les navigateurs doivent adapter leur stratégie pour survivre à cette tempête.
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